Tu apparais, mémoire d’un passé,Ombre, lumière, visage de l’absence,Ici dis-paraît une paroleChemin vide, silence des mots.
la grand mere
Regard porté vers un ailleurs,
Tu es seul désormais
Ombre voilée,
Matière, mémoire, obscurité…
Serais-je une autre vision ?
Reflet d’une solitude…
De tes mains tu pourras
Déchirer les voiles de l’image.
« Ainsi jusqu’à la mort, visages réunis,
Gestes gauches du cœur sur le corps retrouvé
Et sur lequel tu meurs, absolue vérité,
Ce corps abandonné à tes mains affaiblies »